Rarement un livre aura aussi bien porté son titre.
D'un côté, l'éveil littéraire d'un étudiant au travers des envolées inspirées de son maître. De l'autre côté, la souffrance de l'homosexualité non assumée. La tragédie s'installe, perdure : on ne lâche pas Zweig comme cela.
Cependant, il me reste un goût amer, peut-être est-ce voulu par l'auteur, je pense que c'est aussi les relents d'une époque : point de compassion pour l'épouse bafouée, reniée et marquée elle-aussi de la honte. Sa souffrance à elle est décrite comme une violence.
Magnifique tragédie, donc, si ce n'est qu'il y a deux poids deux mesures : certaines souffrances ne sont pas assez belles pour être dépeintes comme telles.
Pages
- Tous les matins, elle boitait - extrait 1
- Tous les matins... - extrait 2
- Ciao Bella - extrait 1
- Ciao bella - extrait 2
- Dernière ambition (roman) - extrait
- Résurgence d'un cœur oublié (novella) - extrait
- La renverse, prose - finaliste concours Très très court Short Edition
- Mains coupables - nouvelle
- La caresse du vent - nouvelle
- Adieu
- Me contacter
Messages les plus consultés
-
Voilà une liste de nœuds dramatiques utile pour recentrer le scénario de son livre. Issue de Leçons de scénario - Les 36 situations dramat...
-
Rose réinvente sa vie. Un condensé d'humour féminin, même si les personnages masculins jouent un beau rôle avec le mari de toujou...
-
Mona est fragile psychologiquement et dépendante de sa psychologue. Elle angoisse, pour ses enfants surtout. Mais d'autres événemen...
-
Vous aimez voyager ? Vous aimez découvrir un pays de l'intérieur ? Vous êtes sensible à la candeur d'un enfant, et la pauvre...