Rarement un livre aura aussi bien porté son titre.
D'un côté, l'éveil littéraire d'un étudiant au travers des envolées inspirées de son maître. De l'autre côté, la souffrance de l'homosexualité non assumée. La tragédie s'installe, perdure : on ne lâche pas Zweig comme cela.
Cependant, il me reste un goût amer, peut-être est-ce voulu par l'auteur, je pense que c'est aussi les relents d'une époque : point de compassion pour l'épouse bafouée, reniée et marquée elle-aussi de la honte. Sa souffrance à elle est décrite comme une violence.
Magnifique tragédie, donc, si ce n'est qu'il y a deux poids deux mesures : certaines souffrances ne sont pas assez belles pour être dépeintes comme telles.
Pages
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