Présentation
J'ai commencé en notant les situations qui m'inspirent, les tempéraments qui
me laissent songeuses, les phrases qui se composent au gré de mes rencontres,
de mes joies ou de mes déceptions. J'ai eu envie de former des histoires, de
prolonger le souffle de personnages qui s'ébauchent : j'ai écrit, des
nouvelles, des contes, une novella, des romans enfin. J'ai continué à lire aussi ; j'ai
cherché ce qui donne vie à un livre. J'ai pris en compte les
critiques de ceux qui me lisent; j'ai donné du temps et de la régularité à mon
travail.
Exerçant dans un monde de chiffres, je suis bien placée pour savoir qu'ils
ne suffisent pas et que nous avons besoin de mots pour explorer nos
expériences ; nous avons besoin d'histoires pour décaler la réalité et mieux
la comprendre. C'est ce qui m’a encouragé à
poursuivre en soumettant mes textes à des relectures. J’ai d'abord
travaillé seule, puis je me suis lancée dans des interviews : j’ai ainsi
progressé sur le fond. Pour Dernière Ambition par exemple - dont
l’action se situe lors de la campagne municipale de 95 -, j’ai rencontré un
directeur de cabinet, le maire de mon arrondissement et un professeur
d’histoire.
J’ai enfin bénéficié du suivi d’un relecteur régulier, puis reçu des critiques
de bêta-lecteurs qui ont mis le doigt sur certains travers que je traque. J'ai maintenu une activité professionnelle à temps partiel
afin de me consacrer plus à l'écriture de romans (mais aussi de textes courts dont La renverse finaliste
en 2018 sur Short édition).
Mon dernier roman est : À la hauteur, écofiction et roman catastrophe, sorti en janvier 2024.
D'où est-ce que je viens ?
Je suis Lyonnaise... et ouverte au monde. J’ai choisi un nom de plume : Mélinda Schilge. Melinda a des consonances anglo-saxonnes car j’aime aussi la langue anglaise ; cependant quand j’ai appris qu’il en existe une version française, Mélinda, je l’ai adopté définitivement (je ne renie pas mes racines). D’ailleurs, Schilge m’a été inspiré de Schillinger, un patronyme d’Alsace, ma région d’origine, dont j'ai voulu comprendre l'histoire dans Tous les matins, elle boitait, qui se situe dans l'entre-deux guerres, en débutant sur les fameuses années folles.
Etudiante, j’avais opté pour une filière scientifique parce que les découvertes dans ce domaine me fascinent. Mon roman Ciao bella, La vie l'emportera s’inspire de la motivation qui anime les chercheurs et autres techniciens. Pour mon « parcours professionnel », j’ai fait un choix intermédiaire : la gestion. De cette expérience, j’en avais tiré un roman : Résurgence d'un cœur oublié, et un goût marqué pour les rencontres internationales.
Je suis Lyonnaise... et ouverte au monde. J’ai choisi un nom de plume : Mélinda Schilge. Melinda a des consonances anglo-saxonnes car j’aime aussi la langue anglaise ; cependant quand j’ai appris qu’il en existe une version française, Mélinda, je l’ai adopté définitivement (je ne renie pas mes racines). D’ailleurs, Schilge m’a été inspiré de Schillinger, un patronyme d’Alsace, ma région d’origine, dont j'ai voulu comprendre l'histoire dans Tous les matins, elle boitait, qui se situe dans l'entre-deux guerres, en débutant sur les fameuses années folles.
Etudiante, j’avais opté pour une filière scientifique parce que les découvertes dans ce domaine me fascinent. Mon roman Ciao bella, La vie l'emportera s’inspire de la motivation qui anime les chercheurs et autres techniciens. Pour mon « parcours professionnel », j’ai fait un choix intermédiaire : la gestion. De cette expérience, j’en avais tiré un roman : Résurgence d'un cœur oublié, et un goût marqué pour les rencontres internationales.
Mon style ? Mon genre de prédilection ?
Des genres assez variés : roman à intrigue, roman d'apprentissage, roman historique ou
roman contemporain voire d'anticipation ; les thèmes de mes romans, scientifiques ou autres, sont documentés : j'aime découvrir en écrivant. Mes personnages, j’apprends à les
connaître au fur et à mesure de leur histoire, je dessine peu à peu leurs
histoires et leurs psychologies. Les lieux, je les observe dans la réalité ou à travers des reportages photos pour trouver les éléments qui donnent du sens à ce qui se passe.
J’équilibre descriptions et dialogues. Parfois, une envolée traverse un
paragraphe, et je ne la restreins pas : j’aime jouer avec les mots, chercher
celui qui est le plus approprié, mais apporter un peu de
poésie.
Mes lecteurs me disent « délicate » dans ma façon d'aborder les événements et « minutieuse » dans mes recherches.
Depuis quelques années ans, j'avance plus facilement, je sais mieux reprendre le fil
conducteur, couper les passages parasites, les phrases se délient, les
personnages prennent corps.
Par ailleurs lectrice assidue, j’ai aussi intensifié une activité de chroniqueuse (chroniques sur mon blog et/ou sur Babelio où je suis connue sous le pseudo de Mélinda-Céline). Et j'ai publié quelques podcasts s’intéressant à des expériences éditoriales variées (indépendantes ou pas) : J'irai lire chez vous.
Et si vous voulez en savoir plus :
Mes chroniqueurs Simplement Pro
Présentation Mots et couleurs de la Loire