La faim, les corps à corps à la baïonnette ou au couteau, les rats, la peur, la compassion pour les nouvelles recrues qui vont mourir en premier, les corps déchiquetés, les derniers râles...
Ce soldat ne nous épargne rien et pourtant, on continue à le suivre dans cette vie précaire, abasourdi de le voir continuer, encore, contraint mais solidaire aussi.
Ce soldat, il est Allemand, et il subit les ordres.
Comme ses ennemis.
La prise de conscience est insidieuse, mais en vivant avec Paul, avec ses peurs, ses soulagements, ses tristesses, ses revanches, ses compassions, ses questions, on comprend à quel point... la guerre est absurde, et destructrice. Seule la camaraderie, poussée à son plus beau degré, offre une lumière indéfectible dans ce charnier innommable.
Pages
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