Maritimes, Sylvie Tanette


Surprenant.

Foisonnant malgré une apparente simplicité.

Avec en toile de fond un témoignage sur les violences dictatoriales, ce roman frôle parfois le conte et nous raconte l'histoire d'une île à travers de petites touches symboliques. Par exemple, la végétation semble se résumer au caroubier de Benjamin, qui évoque à lui seul une végétation méditerranéenne. Benjamin est le jeune étranger qui est venu se réfugier, se démarquant des autres touristes qui nous font bien sourire. Cela dit, c'est grâce à aux que les iliens nous dévoilent leurs racines, leur langue, même si l'auteure tarde à nous en dévoiler les origines mystérieuses...

Une belle découverte.

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