La Grande illusion


La Grande, la belle illusion de Jean Renoir.

Première guerre mondiale

Bien qu'officiers de camps opposés, Von Rauffenstein et De Boëldieu deviennent... amis.
Amitié authentique s'il en est, fondée sur le respect des principes des gens bien nés.
Fidélité à leur patrie, à leur armée.
De Boeldieu se doit de se sacrifier pour que deux de ses compagnons d'armes puissent s'échapper de la forteresse dans laquelle ils ont été incarcérés.
Von Rauffenstein se doit de lui tirer dessus quand ce dernier accède à une limite interdite de la prison.
Mais sa compassion est authentique tout autant que le pardon de son ami quand De Boeldieu agonise de la balle qui a atteint malencontreusement son ventre au lieu de sa jambe... d'autant qu'ils concèdent de concert que mourir à la guerre est pour les gens de leur rang "une bonne solution".

Marechal et Rosenthal, fuyards français, (grâce au sacrifice de De Boëldieu) se réfugient dans une étable.
Plusieurs jours se sont écoulés.
Des nuits passées l'un contre l'autre pour se tenir chaud.
Un paquet de sucre pour seule nourriture.
Marechal aurait pu tuer la jeune veuve allemande qui arrive à la suite de sa vache.
La jeune femme faisant fi de toute prudence et de tout patriotisme les encouragent à venir chez elle, pour soigner Rosenthal. Une occasion de les livrer se présente, elle ne la saisit pas.


Construction des personnages


Pour décrire un personnage, je travaille à partir de photos puis je me pose les questions suivantes pour mieux le définir :

1 . Prénom, Nom de famille, Age

2 . Carrure ? Forme du visage ? Teint ? Cheveux ? Front ? Sourcils ? Yeux ? Nez ? Joues ? Lèvres ? Menton ? 
. Tics, particularités physiques ?
. Démarche ? 

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