Mélinda Schilge - Céline : écritures et lectures
Pages
- À la hauteur - extrait
- Tous les matins, elle boitait - extrait 1
- Tous les matins... - extrait 2
- Ciao Bella - extrait 1
- Ciao bella - extrait 2
- Dernière ambition (roman) - extrait
- Résurgence d'un coeur oublié - extrait
- La renverse, finaliste concours Très très court Short Edition
- Mains coupables
- La caresse du vent - nouvelle
- Adieu
- Me contacter
Comment est-ce que je conçois la trame de mon récit en tant qu'auteure ?
Mémoire d'outre-mer, Sonya Lebled
Sonya Lebled
Exploration de la dimension romanesque du château d'eau à travers celui de la Duchère, Lyon
Le château d'eau de la Duchère : un géant méconnu
Une œuvre d'art et un bâtiment technique
château d'eau Duchère, romanesque
Un élément vital du réseau d'eau lyonnais
Un univers romanesque
L'eau : au cœur de la reconstruction
Le château d'eau dans À la hauteur
Extrait - À la hauteur
Dans un monde où l'électricité n'est plus qu'un lointain souvenir, la survie prend un sens nouveau. Dans mon roman, À la hauteur, j'explore les défis d'une société post-apocalyptique, où l'eau devient une ressource cruciale, car difficile à obtenir. On espère remettre en route des infrastructures passées, comme les châteaux d'eau, mais il faut bien se débrouiller en attendant.
Extrait :
À la sortie du village, je repère un bidon bleu. Mes grands-parents
maternels avaient le même : il contenait de l'eau de pluie, ce qui
m’avait bien étonnée quand je les avais rencontrés pour la première fois (à
l’adolescence), ne connaissant que l’eau provenant d’un robinet ou en
bouteille. En l’occurrence, celle que m’a fournie Emma est vide depuis belle
lurette. Je revois son air coupable lorsqu’elle m’a avoué :
« Désolée, je garde les plus grandes, tu comprends… » et lui
adresse en pensée : « Pas grave, tu vois, je me débrouille
toujours. »
Malheureusement, l’eau y est croupissante et je n'ose pas la boire ;
je m’asperge cependant le visage avec ce liquide douteux et je poursuis
péniblement ma route jusqu’au hameau suivant. La soif est devenue
difficilement supportable.
Cette fois-ci, j’arrive devant une maison dont la façade aux tons de terre
cuite semble assez récente : cela me rassure. Je chausse alors mes
escarpins et je me manifeste.
Une femme d’une cinquantaine d’années m’ouvre. Elle est déjà coiffée et je
me fais la réflexion qu’elle doit avoir un bon coiffeur, mais avant toute
chose, je lui réclame un verre d’eau plutôt que l’adresse de cet
artiste !
— Attendez, j'enfile une veste.
Les balmes lyonnaises : entre Histoire, mystères urbains et nature
Qu'est-ce qu'une balme ?
Montée de Serin ou Montée des Esses à la Croix-Rousse
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